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Maladies cardiovasculaires :
le cholestérol n’y serait pour rien ! 

5 millions de Français âgés de 55 ans ou + sont concernés !

 

Les Autorités de Santé ont agité inutilement le chiffon rouge anti-cholestérol face aux Français pendant des décennies.

En effet, 90% des décès par crise cardiaque pourraient être évités… sans passer par :

  • Un régime sans graisse
  • Une alimentation sans sel ni viande rouge
  • La prise à vie de médicaments anti-cholestérol
  • Un pontage coronarien, une angioplastie, la pose d’un stent, une autre opération du cœur

 

Cette révélation scientifique, je vous la partage dans un livre que je viens de terminer et que j’aimerais vous offrir, Ce que votre médecin ne vous dit pas. J’y révèle la vérité enfin sortie au grand jour.

 

Ce guide complet de solutions… dont votre médecin ne vous parle probablement jamais !

 

Volume I + Volume II

Valeur : 98 euros – offerts !

Dans ces livres brûlants sont abordées les solutions alternatives les plus récentes aux maladies cardiovasculaires, au cancer de la prostate, à la maladie de Lyme, à Parkinson, à Alzheimer, aux allergies, aux problèmes de peau, ou encore aux fausses idées sur la nutrition.

Je vous indique comment recevoir ces livres gratuitement dans quelques instants !

 

Vous faites probablement partie des victimes

Le mythe du cholestérol, la plus grande « fake news » médicale du 20e siècle, est en train de disparaître sous nos yeux.

Avec lui, une manne financière gigantesque qui enrichit depuis 40 ans :

  • les grands laboratoires pharmaceutiques vendeurs de médicaments anti-cholestérol, principalement les statines et les fibrates ;
  • les multinationales de l’agroalimentaire qui surfent sur « la peur du gras » et vendent des aliments allégés soi-disant bons pour votre cœur et vos artères.

Ce mensonge, propagé depuis les années 1980 par les médias avec le soutien des Autorités de Santé, a fait des millions de victimes.

Vous en faites partie si, comme 5 millions de Français en 2020, votre médecin vous a prescrit des statines[1] alors que vous pouviez vous en passer.

Vous en faites aussi partie si, depuis des années, vous vous forcez à vous priver tous les jours de viande rouge, de sel et de beurre afin de diminuer votre cholestérol et donc votre risque de crise cardiaque.

Je vous écris ce message pour vous prouver, études à l’appui, que le cholestérol n’est pas à craindre et qu’il est même essentiel pour votre santé. 

 Je vais vous indiquer un moyen de vous aider à combattre vraiment les maladies cardiovasculaires sans privations inutiles.

J’ai eu l’occasion de m’entretenir avec l’un des plus grands médecins de France, Michel de Lorgeril.

Pour lui, les études indépendantes sont formelles : ce n’est pas en diminuant votre cholestérol que vous réduirez votre risque d’infarctus.

Voici exactement ses mots :

« Les médicaments contre le cholestérol ne servent à rien, on peut les arrêter quand on veut. »

Quand j’ai lu cette phrase, je me suis demandé si je pouvais la publier !

Michel de Lorgeril est un expert international des problèmes cardiaques.

Peut-être l’avez-vous vu dans Cholestérol, le grand bluff, l’émission choc diffusée le mercredi 16 octobre 2019 sur la chaîne Arte.

Il est membre de la société européenne de cardiologie. Il est l’un des plus grands spécialistes du mode de vie « anti-crise cardiaque ».

Vous avez dû vous rendre compte que ce n’était pas le genre à crier au loup sans raison.

Mais si j’ai hésité à vous retranscrire ses propos… c’est parce que cette révélation met en cause de nombreux intérêts.

 

Qui a intérêt à vous dire
qu’il faut réduire votre cholestérol ?!

Dès les années 1970 les entreprises agroalimentaires en ont profité pour remplir les supermarchés de produits nocifs comme les beurres allégés en matière grasse, la margarine, les huiles allégées, les yaourts à 0%.

Les laboratoires pharmaceutiques, de leur côté, ont inondé les pharmacies de médicaments anti-cholestérol, qui représentent aujourd’hui un marché mondial de 20 milliards de dollars[2].

La peur du cholestérol a généré, et génère toujours, des profits colossaux.

Vous vous demandez sans doute « comment on a pu en arriver là »…

Lisez attentivement cette histoire, elle est effarante.

Comment le cholestérol est devenu
l’ennemi public numéro 1

Pour comprendre, il faut revenir à la fin des années 1950.

À l’époque, un médecin nutritionniste américain influent appelé Ancel Keys étudie l’alimentation des pays riches.

 

Il publie une étude qui dit que les pays où l’on mange le plus de graisses sont aussi les pays où l’on meurt le plus d’infarctus[3].

Voici le graphique qu’Ancel Keys publie :

 

L’étude des 7 pays semble prouver que plus vous mangez de matières grasses, plus avez de chance de mourir d’une crise cardiaque[4].

Très vite, cette étude est contestée car Ancel Keys a truqué les chiffres.

Il n’avait sélectionné que les données qui confirmaient sa « grande découverte »… espérant obtenir pour cela un Prix Nobel !

Le vrai graphique révélé par la suite montrait une réalité bien différente[5].

 

Il n’y a plus de tendance ! Ni de courbe ! Cela veut dire que :

  • dans de nombreux pays, les gens mangent beaucoup de graisses sans que le nombre de morts par crise cardiaque soit élevé ;
  • à l’inverse, dans certains pays où la consommation de graisse est faible, on meurt plus de crise cardiaque qu’ailleurs !

Mais Ancel Keys ne se laisse pas contredire.

Il réunit d’importants fonds et lance d’autres études. Il se prête même à de nouveaux trucages[6].

Et grâce à des relations de haut niveau, il parvient à se faire nommer à la tête d’institutions telles que l’American Heart Association (AHA) qui définit les recommandations officielles pour réduire le risque de crise cardiaque aux États-Unis…

… en passant par la réduction de la consommation de graisses !

C’est ainsi qu’est né le mythe du cholestérol.

 

Le bon et le mauvais cholestérol, la théorie a marché

Les laboratoires et l’industrie agroalimentaire ont fait le reste du travail.

Ils ont affirmé qu’il y a deux sortes de cholestérol, le bon cholestérol HDL et le mauvais cholestérol LDL.

Et ils ont dit qu’un taux de LDL trop élevé était responsable des maladies cardiovasculaires…

…à partir d’une seule observation : quand on regarde les artères des gens qui ont fait une crise cardiaque, elles semblent « bouchées » par du cholestérol LDL.

L’important dans la phrase qui précède, c’est « qui ont fait une crise cardiaque ».

Car la vérité la voici : c’est quand on est déjà à risque qu’on accumule du cholestérol LDL. Pas le contraire !

C’est pourquoi réduire son cholestérol par des statines est intéressant dans deux cas seulement :

  • lorsque l’on souffre d’une maladie très spécifique et rare, l’hypercholestérolémie ;
  • lorsque l’on a déjà fait un infarctus dans le passé ou qu’on a un risque artériel fort.

Mais réduire son cholestérol quand on n’a pas ces antécédents, ça n’a AUCUN SENS ! A part enrichir les laboratoires qui vendent des statines !

 

Quand la science détruit les arguments
de Big Pharma et de l’agro-alimentaire

Les débuts du retour à la vérité datent des années 2000, lorsque la communauté scientifique s’étonne de ne pas pouvoir confirmer les observations de Keys.

En 2016, une équipe de chercheurs indépendants a mis un point final aux doutes, comparant les résultats de plus de 30 études sur le cholestérol

Ce qu’ils ont établi a créé un séisme :

Le lien entre « mauvais cholestérol » et maladies cardiovasculaires n’existe pas.

Le « mauvais cholestérol » serait un mythe.

Cette étude vient confirmer les propos du chercheur Uffe Ravskov, qui disait déjà en 2005 :

« Les études ont échoué à montrer un lien entre la mortalité et la consommation de graisses (beurre, crème…). Les gens qui évitent les graisses saturées et qui ont de faibles taux de cholestérol ont autant de maladies cardiovasculaires que ceux qui consomment des graisses et dont le taux de cholestérol est élevé. » [7]

Le rapport serait même inversé.

Plus les taux de cholestérol LDL sont bas, plus la mortalité augmenterait[8].

Vous avez bien lu : c’est l’exact contraire de ce qui a été dit pendant 50 ans…

La conséquence de cela est que des millions de personnes ont vécu surmédicamentées en statines, maintenues dans la phobie des graisses pendant des décennies… pour rien !

 

Cause des crises cardiaques :
le plus probable, c’est ça !

Dans ce livre que j’aimerais vous envoyer gratuitement, Ce que votre médecin ne vous dit pas, vous allez découvrir la « vraie » cause des crises cardiaques en page 66.

 

Vous y apprendrez que le risque de crise cardiaque ne serait absolument pas « augmenté par le cholestérol » et que se priver de manger des aliments contenant du cholestérol est absurde.

Le risque cardiovasculaire, on le sait aujourd’hui, est la conséquence de l’athérosclérose, une inflammation des parois de vos artères[9].

Cette inflammation fragilise vos artères qui subissent des coupures minuscules.

Votre corps détecte que vos artères saignent et envoie un « pansement » pour boucher les trous…

Savez-vous quel est ce pansement ?

LE CHOLESTÉROL …

Si vous ne faites rien pour soigner cette inflammation, de nouvelles coupures apparaissent. Le corps continue à envoyer des « pansements de cholestérol »… Ces pansements se superposent et s’agrègent, formant des plaques d’athérome, qui, elles, vont finir par boucher l’artère… Et là, oui, le risque de crise cardiaque augmente en flèche.

Pour espérer diminuer ce risque de crise cardiaque, il faut donc réduire les inflammations qui fragilisent vos artères.

 

Le LDL est essentiel à votre santé

Les révélations que nous faisons vont encore plus loin.

Les scientifiques ont mis au jour que le cholestérol LDL est en réalité une protéine qui ne fait que transporter le cholestérol.[10]

Cette protéine est très importante pour notre organisme. Sans elle, nos organes ne reçoivent pas assez de cholestérol, ce qui comporte un risque majeur :

  • vos artères abîmées ne peuvent plus se réparer, on l’a vu ;
  • votre production naturelle de vitamine D et de Coenzyme Q10 est bloquée[11] ;
  • votre thyroïde ne peut plus créer d’hormones, ces messagers qui régulent tout, de votre sommeil à votre humeur[12] ;
  • vous ne pouvez plus créer de collagène, essentiel à vos articulations[13] ;
  • vos muscles guérissent plus lentement des blessures[14] ;
  • votre cerveau ne peut plus créer de souvenirs, votre mémoire s’affaiblit[15] ;
  • les 100 000 milliards de cellules présentes dans votre corps deviennent « perméables » aux attaques des bactéries et virus[16] ;

C’est la raison pour laquelle baisser votre LDL est plus dangereux que bénéfique, sans contestation possible [17] ;

De récentes analyses effectuées sur 200 centenaires montrent d’ailleurs que la majorité ont des taux élevés de ce « mauvais cholestérol »[18] !

Un mythe est tombé.

Le plus grand facteur alimentaire des crises cardiaques, ce ne serait donc PAS le « mauvais cholestérol »…

Parce que le « mauvais cholestérol » ça n’existe pas, tout simplement !

 

Faux coupable, vrai coupable

Comment faire pour diminuer l’inflammation des artères et l’athérosclérose, la vraie cause des crises cardiaques ?

Il faut combattre un autre ennemi, beaucoup plus dangereux et sournois.

Le sucre.

Mais ça, personne ne le dit, à cause d’un lobby agro-alimentaire qui bourre notre alimentation de sucres, visibles comme invisibles !

Lorsque notre alimentation est trop riche en sucres, ce qui est la norme aujourd’hui en Occident, l’excédent de sucres est converti en triglycérides[19] ; un taux élevé de triglycérides triple votre risque cardiovasculaire[20].

Par ailleurs, quand vous mangez trop de sucre, vous développez de la résistance à l’insuline, hormone produite par votre pancréas. Cette insulino-résistance peut entraîner une prise de poids et du diabète de type 2, eux-mêmes facteurs d’inflammation, d’hypertension et d’accidents cardiovasculaires[21],[22] !

Vous trouverez l’explication intégrale du rapport entre sucre et risques cardiovasculaires dans Ce que votre médecin ne vous dit pas, à la page 59.

 


Combattez vraiment les maladies cardiovasculaires

Certains médecins disent qu’il serait possible de réduire de 80% voire de 90% votre risque cardiovasculaire :

  • sans médicaments anti-cholestérol ;
  • sans intervention chirurgicale ;
  • et sans régime pauvre en graisse.

En pages 44 à 70, vous allez découvrir :

  • le régime alimentaire qui vous aiderait à conserver un cœur puissant et solide : il a réduit de 50 % le taux d’accidents chez ceux qui l’ont essayé[23] (page 44);
  • comment le régime DASH (page 50) permettrait à lui seul d’agir positivement sur votre tension artérielle ;
  • 9 ingrédients et vitamines qui agissent comme un gilet pare-balles pour votre cœur ;
  • le meilleur moyen pour espérer revenir à 12.5 de tension (page 53) ;
  • les 5 médicaments chimiques qui peuvent vous mettre en danger (attention si vous prenez des anti-vitamines-K ou des diurétiques…) ;
  • comment votre cardiologue vous prescrit peut-être, sans le savoir, des dérivés de pesticides (page 57) ;
  • pourquoi manger des œufs à volonté serait la première chose à faire pour aider votre cœur (page 69).

Vous avez le droit d’être au courant de ces moyens naturels efficaces et sans effets secondaires connus, surtout si vous craignez pour votre cœur ou si vous avez des proches qui ont des problèmes cardiaques.

C’est ce qui a motivé la publication de mon livre Ce que votre médecin ne vous dit pasmon ouvrage le plus risqué à ce jour.

 

Toutes les solutions naturelles que votre médecin
ne vous donne certainement pas…
en un seul volume !

J’ai réuni dans ce livre les articles les plus révolutionnaires des experts avec qui j’ai eu l’honneur de travailler ces dernières années.

C’est à ma connaissance le seul ouvrage à vous offrir des axes nouveaux avec des indications précises pour lutter contre les maladies “casse-têtes” de la médecine conventionnelle.

Tous les sujets brûlants sont abordés, pas seulement les maladies cardiovasculaires, mais aussi le cancer de la prostate, la maladie de Lyme, Parkinson, Alzheimer, les allergies, les problèmes de peau, les fausses idées sur la nutrition…

Ce que votre médecin ne vous dit pas est un guide complet vous présentant toutes les solutions naturelles applicables chez vous, dès maintenant, scientifiquement prouvées.

Pour que vous vous y retrouviez, j’ai découpé ce livre par chapitres.

Les voici.

 

Ce que votre médecin de vous dit pas :
le chapitre I est consacré à la maladie de Lyme 

Le premier chapitre de Ce que votre médecin ne vous dit pas est dédié à la maladie de Lyme.

La maladie de Lyme a progressé de 300 % en 20 ans. [24]

Pourtant, beaucoup de médecins prétendent que la maladie de Lyme… ça n’existe pas !

Je veux bien penser que c’est par ignorance.

Mais le résultat, c’est qu’aujourd’hui, suite à une morsure de tique, si vous avez :

  • des difficultés à dormir,
  • que vous êtes fatigué et déprimé,
  • que vous avez des fièvres inexpliquées,

…vous avez de grandes chances que votre médecin vous propose des somnifères et des anxiolytiques ! Vous disant que « c’est dans la tête » !

Vous n’avez pas à être la victime de cela.

Dans le chapitre de mon livre (pages 9 à 32) consacré à la maladie de Lyme, vous verrez qu’il existe des solutions naturelles pour combattre ce terrible fléau et pour apaiser ses effets. Vous allez découvrir :

  • le questionnaire d’évaluation de Lyme, unique au monde, réalisé par le Docteur Horowitz (page 14). Il contient 35 questions. Si vous avez été mordu par une tique, vous pourrez réaliser vous-même facilement et rapidement cette première évaluation ;
  • le protocole Cowden (page 11) : il allie 3 plantes (le Cumanda, l’Enula et le Samento) ; il permettrait de combattre très efficacement les borrelia (les bactéries de la maladie de Lyme) présentes dans l’organisme – jusqu’aux plus indélogeables ;
  • le protocole Buhner (page 11) : c’est un programme antibactérien qui utilise 5 plantes. Il aide à nettoyer votre sang de l’infection de Lyme.

Vous pourrez AUSSI adopter une stratégie alimentaire qui renforce votre immunité naturellement. Car tous les spécialistes de Lyme le disent : la borréliose de Lyme a très peu de chances de passer la barrière d’un organisme à l’immunité forte ! Vous allez découvrir :

  • 3 champignons qui viennent blinder votre système immunitaire (page 11) ;
  • un extrait de champignon, le bêta glucane (page 11) qui est encore plus puissant : il augmenterait le nombre de ces soldats dans votre sang ![25] ;
  • le rôle du colostrum pour augmenter votre taux de vos cellules tueuses de bactéries (page 11) ;
  • la serrapeptase, ou encore la stévia (en remplacement du sucre avec 2 à 3 gouttes trois fois par jour), permettraient d’affaiblir les bactéries de Lyme en détruisant leur carapace (page 12) ;
  • les aliments riches en acides aminés (page 22) : véritables carburant de vos globules blancs, ils donnent une précieuse énergie à vos défenses immunitaires pendant plusieurs mois.

Et bien d’autres encore.

 

Chapitre II : cancer de la prostate,
stop au surdiagnostic et à la chirurgie

Mon deuxième chapitre est consacré au scandale du cancer de la prostate.

Votre urologue ne vous dira sans doute jamais que vous avez très peu de chances de mourir du cancer de la prostate.

Au lieu de ça, s’il juge qu’il peut y avoir un problème, il vous orientera probablement vers une biopsie douloureuse et dangereuse (risques d’infection, fièvre, douleurs, saignements, troubles érectiles…).

Et si le cancer est diagnostiqué, vous risquez une prostatectomie, l’ablation complète de la prostate.

20 000 prostates sont enlevées aux hommes chaque année, la grande majorité inutilement.[26]

Il est temps de ne plus tomber dans le cercle vicieux du surdiagnostic du cancer de la prostate et des conséquences lourdes et handicapantes (y compris sur la sexualité) d’une telle chirurgie.

Il existe des techniques naturelles visant à combattre ce cancer et espérer réduire son développement.

Vous les trouverez dans le chapitre II de mon livre (pages 33 à 42) :

  • 3 aliments (page 37) qui se trouvent dans votre frigo et dans vos placards et que vous devez absolument proscrire : ils augmenteraient votre risque de cancer de 33 % à 500 % ;
  • un nouveau régime ralentirait par 8 fois le développement du cancer de la prostate (page 37) ;
  • découvrez 5 aliments « anti-cancer de la prostate » qui contiennent des molécules agissantes comme les isoflavones, les lycopènes, les glucosinolates, le sélénium, les polyphénols biodisponibles… (page 38). Consommez-les sans modération et en vous faisant plaisir ;
  • l’activité (page 38) que vous devez absolument poursuivre : réalisée 21 fois par mois, elle permettrait de réduire de 22 % vos risques ;
  • 6 plantes qui auraient un effet « réducteur de taille » sur la prostate : le palmier nain de Floride, la racine d’ortie, l’épilobe à petites fleurs, le prunier d’Afrique, les graines de courge et les extraits d’oignon notamment (modes d’utilisation complets en page 39) ;
  • 6 huiles essentielles rafraîchissantes (page 40) pour vous soulager d’une prostate congestionnée et inflammée.

Ne laissez pas votre urologue décider pour vous : ces solutions naturelles doivent être essayées en priorité !

J’ai déjà évoqué le Chapitre III, consacré aux maladies cardiovasculaires.

Parlons maintenant des maladies neurodégénératives, objet de mon chapitre IV.

 

Chapitre IV : Alzheimer et Parkinson,
ce ne sont pas des fatalités 

Demandez à votre médecin ce qu’il pense d’Alzheimer et Parkinson.

Il vous répondra, dans 90% des cas, qu’il n’y a rien à faire… à part espérer que ça ne vous tombe pas dessus !

Les dernières découvertes médicales sont passées sous silence pour protéger les marchés colossaux des médicaments qui tentent de traiter ces maladies.

Mais la réalité, c’est qu’ils sont pour la plupart inefficaces et provoqueraient même des maladies.

Au point qu’ils ont été déremboursés en France au cours de l’été 2018 ![27]

Pour sortir de l’impasse, le chapitre IV de Ce que votre médecin ne vous dit pas (pages 73 à 120) vous propose de découvrir comment affronter les maladies d’Alzheimer et de Parkinson. Vous découvrirez : 

  • 6 médicaments qui augmenteraient le risque de troubles cognitifs de 11 à 30 % : les antidépresseurs (benzodiazépines), sur une longue durée, multiplient même ce risque de 3,5 ! (page 76) [28] ;
  • 12 comportements bénéfiques du protocole MEND (page 91). Ce protocole a guéri 8 personnes sur 10 d’Alzheimer dans un hôpital de Californie. Vous découvrirez comment ils ont fait : il est primordial notamment de réduire votre consommation de sel, d’assurer un apport élevé en folates en consommant plus de foie de bœuf, ou encore de consommer deux fois par semaine du poisson… ;
  • 2 stratégies simples visant à augmenter dès le premier mois d’un diagnostic d’Alzheimer les performances de votre cerveau : diminuez simplement la présence de sucres rapides et de graisses saturées dans votre alimentation (page 84) ;
  • 6 petits gestes pour mettre toutes les chances de votre côté contre Parkinson en réduisant votre exposition aux pesticides (page 95) ;
  • l’intestin jouerait un rôle majeur dans la survenue de ces maladies. 5 conseils vous permettent de prendre soin de votre microbiote intestinal en page 97 : un fruit pour faire le plein de pectine, un prébiotique qui nourrit les bonnes bactéries intestinales qui, à leur tour, soignent votre muqueuse intestinale, la consommation d’aliments lacto-fermentés qui enrichissent en bonnes bactéries vos intestins (vous connaissez la choucroute, mais il y en deux autres !) ;
  • une alimentation offensive pour lutter contre le stress oxydatif (page 98), qui selon bien des chercheurs serait une des origines d’Alzheimer[29]. Préparez-vous à beaucoup de plaisir ! Fruits, légumes, épices, oméga-3, vitamines pour un régime étonnant qui foisonne de saveurs ;
  • le protocole Seignalet visant à garder un cerveau jeune et sain (page 98): il allie cuisson des aliments à basse température, consommation d’huiles vierges, crues et extraites à froid, et suppression des produits laitiers animaux et des céréales à gluten ;
  • un ensemble de 7 compléments essentiels pour lutter contre la dégénérescence neuronale. En page 99, vous apprendrez comment et combien en prendre pour réguler de bons apports en glutathion, en vitamine D, C, E, en caroténoïdes, en magnésium, en zinc et en sélénium ;
  • 5 choses à faire qui pourraient vous aider à vous mettre à l’abri de la maladie (page 102). Vous avez dans vos placards des produits qui contiennent du tétrachlorure de carbone et du trichloréthylène : éliminez-les immédiatement ! Cela ne vous prendra que quelques secondes et vous pourrez facilement les remplacer par des produits écologiques ;
  • 4 aliments qui vous apporteraient les meilleures substances contre Parkinson : le lin et les noix font partie de la liste (page 103).

Alors n’attendez pas que votre médecin vous déclare Alzheimer ou Parkinson, essayer des solutions d’anticipation dès maintenant ! Elles existent !

 

Chapitre V : les produits ultra-transformés
et le petit déjeuner

Mon chapitre 5 est consacré aux produits ultra-transformés et au petit déjeuner, dont l’importance est primordiale.

Il est probable que votre médecin ne vous ait jamais donné de conseils sur le sujet.

Devez-vous vous appuyer sur les recommandations des Autorités de Santé ? certainement pas…

Elles ne sont pas adaptées à nos besoins nutritionnels.

Dans le chapitre V (pages 121 à 129) consacré à la nutrition, vous trouverez toutes mes vérités sur les idées fausses de la nutrition et comment bien débuter vos journées avec :

  • 3 règles pour reconnaître à coup sûr un aliment ultra-transformé sans vous tromper (vous verrez qu’il y a des pièges !) – page 123 ;
  • 3 conseils diététiques de Jean-Paul Curtay (page 126). Vous verrez que diététique ne veut pas dire restriction. Pour lui, le premier repas de la journée doit être consistant et faire la part belle aux protéines. Ensuite, le déjeuner doit être équilibré entre protéines et glucides, alors qu’au dîner, vous pourrez privilégier les glucides. Découvrez pourquoi dans son article ;
  • 8 recettes du nutritionniste Anthony Berthou (page 127) pour prendre un petit déjeuner de champion.

Respecter les règles d’or nutritionnelles présentées dans ce dossier pourrait vous changer la vie.

Vous pourrez vous sentir plus léger, alerte et dynamique, avec une énergie décuplée jusqu’au soir.

 

Chapitre VI : peau, vitamine D et eczéma

Mon chapitre VI est consacré à votre peau. Lorsque vous ressortez de chez votre dermatologue, la recommandation que vous recevez généralement c’est : « protégez-vous du soleil et exposez votre peau au minimum ! »

C’est une grave erreur.

Vous ne devez évidemment pas vous laisser brûler la peau.

Mais vous DEVEZ absolument vous exposer au soleil pour fabriquer de la vitamine D. Celle-ci a des bienfaits innombrables sur votre corps, vous permettant de lutter contre de nombreuses maladies (ostéoporose, arthrose, diabète…) et le risque cardiaque.

Dans le chapitre VI de mon livre (pages 131 à 145), vous trouverez un mode d’emploi pour une exposition au soleil sans danger, qui maximisera votre production de vitamine D :

  • 8 points essentiels à respecter pour profiter pleinement des bienfaits du soleil. Il n’y a pas besoin de s’astreindre à rester des heures au soleil brûlant ! (page 137) ;
  • un régime coloré pour préparer votre peau au soleil et éviter les coups de soleil (page 141), à réaliser pendant 4 à 6 semaines avant de vous exposer au soleil ;
  • pour avoir une belle peau de manière générale, mangez vos brocolis en ajoutant un filet d’huile d’olive : cela suffit pour augmenter l’absorption par votre organisme de ces nutriments qui vous permettent d’avoir une peau belle, soyeuse et hydratée. Découvrez les autres astuces en page 140 ;
  • 5 démarches si vous avez des rougeurs ou un eczéma pour retrouver votre belle peau : le problème peut venir de l‘intérieur, il n’est alors pas toujours utile de traiter le problème en surface et localement. Vous pourriez par exemple essayer de réduire les laitages, le gluten, les acides et les graisses cuites ou saturées, etc. (la suite en page 143) ;
  • un mélange de 5 plantes pour détoxifier votre foie, ce qui a un effet « belle peau » ! Nous vous donnons cette recette en détail (doses de feuilles, volume d’eau, temps d’ébullition) en page 143.

Vous allez pouvoir profiter du soleil librement, mais aussi profiter de secrets pour rendre votre peau plus belle !

 

Chapitre VII : domptez vos allergies

Parlons maintenant des allergies.

Lorsque vous allez voir un allergologue, vous ressortez en général avec une liste de prescriptions longue comme le bras.

Une fois sur deux, on vous prescrit cet antihistaminique bien connu, le Zyrtec ! Les effets secondaires de ce médicament pullulent sur Internet : baisse de la vigilance, somnolence, maux de tête, sécheresse de la bouche, troubles visuels, etc.

Il existe pourtant des solutions naturelles « anti-allergie », que vous allez découvrir dans le chapitre VII de Ce que votre médecin ne vous dit pas (pages 145 à 167). Apprenez à dompter vos allergies avec :

  • les 6 plantes les plus efficaces pour atténuer le rhume des foins, l’asthme ou les allergies de la peau (page 147). Le cumin noir semble particulièrement efficace. L’astragale ou le bourgeon frais de cassis pourraient libérer votre nez de votre allergie au pollen. Le gingembre pourrait calmer les symptômes d’une rhinite. Le Ginseng rouge coréen pourrait vous tranquilliser face à une crise d’asthme ;
  • 4 solutions naturelles préventives pour laisser vos mouchoirs au placard (page 156) ;
  • 5 substances naturelles pour limiter, voire supprimer les médicaments pendant la période critique de l’allergie (page 157) ;
  • 5 choses efficaces à faire en cuisine pour réduire les symptômes de vos allergies rapidement (page 155) : le combat contre vos allergies passe aussi par votre alimentation. Vous pourriez essayer de réduire votre consommation de sel et de sucre, et même ajouter des condiments comme de l’ail et l’oignon !

Ces chapitres composent le premier tome de Ce que votre médecin ne vous dit pas.

Les dizaines d’enquêtes santé contenues dans ce livre vous aideront déjà à espérer une vie plus longue, plus active, plus épanouissante !

 

2 bibles de santé pour le prix de… 0€ !

Je ne vais pas vous envoyer gratuitement le volume 1 de Ce que votre médecin ne vous dit pas.

Je vais faire BEAUCOUP mieux que cela.

Je vais vous envoyer gratuitement le tome 1 ET le tome 2 !

À eux deux, ces livres valent 98 €. Pour vous, ce sera gratuit.

En retour, je vous invite simplement à vous abonner, sans engagement, à ma revue-phare, Alternatif Bien-Être.

C’est un O.V.N.I dans le monde des journaux : sans jargon ni langue de bois, cette revue est le premier mensuel francophone de santé naturelle lue par plus de 200 000 lecteurs !

Vous recevez 32 pages par mois, sur les dernières découvertes introuvables ailleurs sur la santé naturelle, sous forme d’enquêtes, dossiers, interviews, brèves, chroniques, témoignages, chaque mois dans votre boîte aux lettres pour vous aider à :

  • Mieux vivre les maladies graves : vous saurez quoi manger après une chimio ; quelles huiles essentielles contribuent à débloquer les articulations; quelle cure de plantes combat la dépression dès le premier mois ; lutter contre le diabète avec le régime « paléo »… vous serez toujours informé des approches naturelles les plus efficaces contre les maladies lourdes dans un dossier complet ;
  • Connaître avant tout le monde les effets scandaleux d’un comprimé ou d’un traitement : Sur les dangers des médicaments anticholestérol (statines), les adjuvants dans les vaccins, la pilule et l’aluminium dans les déodorants, nous vous avons toujours informé avant qu’il ne soit trop tard ;
  • Eviter les dérives et les marchands de miracles : grâce à nos experts, démasquez les escrocs les plus fins et suivez en toute confiance les praticiens reconnus.
  • Apaiser vos maux du quotidien : le noyer noir calme les ballonnements et soulage le transit; la rhodiole réduit les insomnies; les huiles essentielles de basilic, de menthe verte et d’hélichryse apaisent les gencives rouges … nous vous faisons redécouvrir des remèdes simples de tous les jours, souvent cachés dans votre cuisine ou votre jardin ;
  • Choisir les produits les plus sains : Face au déluge d’informations, nous vous aidons à trouver les références de plantes, de compléments et produits naturels les plus fiables, en totale indépendance ;
  • Découvrir les solutions ancestrales des 4 coins du monde : il y aura toujours des remèdes oubliés, exotiques pour combattre vos maux. Nos experts vous en rapportent chaque mois des dizaines de leurs expéditions.

Car vous le verrez, quasiment tous les malades peuvent oser l’espoir de vivre heureux plus longtemps du moment que l’on s’éloigne des discours officiels.

Alternatif Bien-Être a ainsi permis à ses lecteurs de découvrir plus de 250 percées majeures…

…ignorées de la plupart des médecins, contre l’arthrose, les maladies cardiaques, le cancer, le diabète, les problèmes de prostate, d’incontinence, d’angoisse, de dépression, de perte de mémoire, de peau, de vue, de cheveux, de sommeil !

Je profite de cette offre exceptionnelle pour m’abonner à Alternatif Bien-Être et reçois mes livres cadeaux

 

Qui suis-je

Rédacteur en chef d’Alternatif Bien-Être, je combats la pensée unique en défendant des solutions simples, naturelles et longuement éprouvées.

J’ai longuement parcouru les zones bleues (ces zones où l’on vit plus longtemps en meilleure santé comme Okinawa, Icaria, Nicoya, ou Loma Linda…), conçu un programme pour jeûner chez soi sans prendre de risque, une méthode naturelle pour soulager le mal de dos, un guide pour bien choisir ses compléments alimentaires, un parcours santé directement issu des centenaires de l’île d’Okinawa, un programme de naturopathie à faire à la maison.

 

Une équipe unique en son genre

Pour écrire ma revue Alternatif Bien-Être, j’ai recruté les experts les plus opposés aux discours officiels, les rares qui osent défier le « médicalement correct » imposé par la dictature de la pensée unique.

La naturopathe et réflexologue Annie Casamayou. Elle est membre de l’association professionnelle OMNES (Organisation de la Médecine Naturelle et de l’Éducation Sanitaire) et spécialiste de biologie nutritionnelle. Tous les mois, elle signe des dossiers complets pour combattre les grandes maladies d’aujourd’hui comme l’arthrose, l’eczéma, Alzheimer, Parkinson, le diabète. À chaque fois, Annie Casamayou vous donne accès à une multitude de solutions pratiques.
Le journaliste, écrivain et expérimentateur de l’extrême, Emmanuel Duquoc. Sa spécialité consiste à tester lui-même de nouvelles pratiques thérapeutiques ou de bien-être. Méthodes fiables ou supercheries, grâce à lui, vous saurez à quoi vous en tenir quand on vous parlera de Rolfing, de Mouvement régénérateur, de caisson d’isolation sensorielle, de yoga du froid, de biodanza, de Méthode Alpé, de l’émetteur de Chi, du Grounding ou de l’Aikishintaiso…
La phytothérapeute et nutritionniste Caroline Gayet. Formée auprès du plus grand herboriste français, Michel Pierre, avec lequel elle a co-signé plusieurs ouvrages, elle partage son temps entre son activité de consultation dans son cabinet de phytothérapie, et l’herboristerie du Palais-Royal, où l’on se presse pour ses conseils. Elle partage chaque mois dans Alternatif Bien-Être son expérience de phytothérapeute, qu’elle éclaire des dernières découvertes scientifiques.
Le médecin et homéopathe Frédéric Rérolle soigne les résidents dans un Ehpad à côté de Lyon. Aussi formé à l’acupuncture et à l’ostéopathie, son approche visionnaire et transversale de la santé lui a permis de réduire de moitié le recours aux médicaments chimiques chez les personnes âgées. Il vous révèle chaque mois comment utiliser les remèdes homéopathiques pour lutter contre vos maladies courantes, vos allergies, vos troubles du sommeil ou votre anxiété, et vous accompagner dans votre traitement si vous souffrez d’une pathologie plus lourde… De façon toujours douce, individualisée, et sans effets secondaires !
  Journaliste indépendante spécialisée en santé, Pryska Ducoeurjoly mène des investigations pour plusieurs revues de santé alternatives depuis 12 ans. Elle a démissionné des grands groupes de presse après avoir constaté les carences du système médiatique dans le domaine de la santé. Elle raconte cette expérience fondatrice dans « La Société Toxique, manuel de dépollution mentale« . Formée depuis à la naturopathie, sa plume libératrice vous dévoile aussi bien les scandales de santé publique que des solutions pratiques méconnues, pour vous rendre autonome et acteur de votre santé.
La journaliste et éditrice Clélia Fortier. À 28 ans, elle développe un psoriasis. Décidée à venir à bout de cette maladie de peau chronique et invalidante, elle expérimente autant la médecine conventionnelle qu’alternative. Mais elle trouve les véritables réponses dans les rencontres qu’elle fait. Après avoir partagé sa propre histoire, Clélia vous présente chaque mois dans Alternatif Bien-Être, les parcours de patients extraordinaires devenus, comme elle, acteurs de leur guérison et experts de leur pathologie. Insuffisance rénale, cancer du sein, leucémie, endométriose… posez un nouveau regard sur ces maladies et découvrez leurs clés pour optimiser sa guérison !
Président de l’Institut français de shiatsu, auteur de livres à très grand succès sur la santé du corps et de l’esprit (dont le célèbre Dis-moi où tu as mal, je te dirai pourquoi, vendu à 700 000 exemplaires), Michel Odoul est un irréductible humaniste. C’est aussi un fin connaisseur de la médecine et de la philosophie chinoise, selon lesquelles les maux de notre corps sont le reflet de nos tensions intérieures. En prenant conscience de nos émotions refoulées et en nous mettant à l’écoute de notre corps, assure-t-il, nous pourrions retrouver sérénité, vitalité et pleine santé. Chaque mois, dans Alternatif Bien-Être, il vous délivre ses techniques « bien-être » et vous aide à prendre de la hauteur de vue sur l’actualité.

Ils vous feront découvrir les solutions et remèdes les plus oubliés, comme le reiki ou la médecine médiévale d’Hildegarde de Bingen, pour vous apporter de vraies solutions.

Grâce à ce message vous allez donc profiter d’1 an d’abonnement à Alternatif Bien-Être (12 numéros) au prix de 19€ en format électronique, ou de 34€ en format papier (frais d’impression et d’envoi supplémentaires).

 

 

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S’agissant des 2 livres d’exception, reliés et cartonnés, ils vous reviendraient normalement à 98 €.

Mais pour une durée très limitée, je vous l’envoie sans frais supplémentaires pour toute adhésion à Alternatif Bien-Être.

 

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Je vous envoie chaque mois votre revue entre le 20 et le 30 de chaque mois.

Et dès maintenant, je vous donne deux sécurités :

  • Sécurité 1 : 3 mois pour réfléchir

Immédiatement après votre inscription, vous recevrez un numéro gratuit d’Alternatif Bien-Être, en version électronique.

Si vous n’êtes pas convaincu et voulez revenir sur votre décision, vous pourrez faire une demande de remboursement à notre service client pendant les 3 mois qui suivent votre règlement, intégralement et sur un simple message sans vous justifier.

Voici votre deuxième sécurité.

  • Sécurité 2 : Notre revue ne vous plait plus ? Arrêtez-la n’importe quand…nous vous remboursons les numéros restants !

En tant qu’abonné à Alternatif Bien-Être, vous pouvez vous désabonner à tout moment et me demander un remboursement au prorata du nombre de numéros qu’il vous reste à recevoir.

C’est un avantage unique dans la presse francophone.

Je prends un exemple : si vous décidez d’interrompre votre abonnement au bout de 5 mois, pour quelque raison que ce soit (nous ne vous poserons aucune question), vous serez immédiatement remboursé des 7 mois d’abonnement qui vous restent !

Dans les faits très peu de lecteurs souhaitent profiter de ce remboursement car ils sont satisfaits et même étonnés de la qualité de notre revue.

Et comme de nombreux lecteurs, je suis sûr qu’Alternatif Bien-Être deviendra votre revue de chevet, celle dont vous attendrez et guetterez impatiemment l’arrivée chaque mois dans votre boîte aux lettres !

Enfin, voici tous les cadeaux que je vais vous envoyer pour vous remercier et vous accompagner.

Voici le récapitulatif de ce que vous allez recevoir :

Le tout pour 19 € (version électronique) ou 34 € (frais d’impression et d’envoi inclus) !

Je profite de cette offre exceptionnelle pour m’abonner à Alternatif Bien-Être et reçois mes livres cadeaux

Très chaleureusement,

Rodolphe Bacquet

 


[1] P. Benkimoun. Cholestérol : l’effet préventif des statines peu probant chez les sujets âgés sans antécédents cardiovasculaires. [en ligne] https://www.lemonde.fr/sciences/article/2019/02/04/cholesterol-l-effet-preventif-des-statines-peu-probant-chez-les-sujets-ages-sans-antecedents-cardiovasculaires_5418795_1650684.html [consulté le 7 octobre 2019] 

[2] Visiongain. Global Cholesterol-Lowering Drugs Market 2017-2027: Statins and Fixed-Dose Combinations, Cholesterol Absorption Inhibitors, Ion Exchange Resins, Fibrates, PCSK9 Inhibitors, Novel Drugs. [en ligne] https://www.visiongain.com/report/global-cholesterol-lowering-drugs-market-2017-2027/ [consulté le 7 octobre 19]

[3] Keys, A. (1970). Coronary heart disease in seven countries. Circulation, 41(1), 186-195.

[4] Keys, A. Atherosclerosis: a problem in newer public health. J. Mt. Sinai Hosp. N. Y.20, 118–139 (1953).

[5] Yerushalmy J, Hilleboe HE. Fat in the diet and mortality from heart disease; a methodologic note. N Y State J Med. 1957 Jul 15;57(14):2343-54. PMID: 13441073

[6] A. Georget. Cholestérol, le grand bluff [document vidéo] https://www.arte.tv/fr/videos/051063-000-A/cholesterol-le-grand-bluff/ [consulté le 7 octobre 2019] 

[7] V. Brooks. The Truth About Cholesterol. [en ligne] http://www.westchestermagazine.com/Westchester-Magazine/June-2008/The-Truth-About-Cholesterol/ [consulté le 7 octobre 2019]

[8] Ravnskov U, Diamond DM, Hama R, et alLack of an association or an inverse association between low-density-lipoprotein cholesterol and mortality in the elderly: a systematic reviewBMJ Open 2016;6:e010401. doi: 10.1136/bmjopen-2015-010401

[9] Lusis AJ. Atherosclerosis. Nature. 2000;407(6801):233–241. doi:10.1038/35025203

[10] Kenneth R Feingold, MD and Carl Grunfeld, MD, PhD. Introduction to Lipids and Lipoproteins. [en ligne] https://www.ncbi.nlm.nih.gov/books/NBK305896/ [consulté le 7 octobre 19]

[11] Nawarskas JJ1. HMG-CoA reductase inhibitors and coenzyme Q10. Cardiol Rev. 2005 Mar-Apr;13(2):76-9.

[12] Futura Sciences. Dossier “Cholestérol” [en ligne] https://www.futura-sciences.com/sante/definitions/medecine-cholesterol-687/ [consulté le 7 octobre 2019]

[13] Dr. Natasha Campbell-McBride. Low cholesterol is dangerous [en ligne] https://www.youtube.com/watch?v=NHsog5lKg6Y [consulté le 7 octobre 2019]

[14] Riechman SE. Dietary and blood cholesterol and statins increase hypertrophy with resistance training. FASEB J. 2005 19. A1571

[15] 4 Mauch, D.H., et al. CNS synaptogenesis promoted by glia-derived cholesterol. Science, 295 (2001)

[16] Maxfield FR, van Meer G. Cholesterol, the central lipid of mammalian cells. Curr Opin Cell Biol. 2010;22(4):422–429. doi:10.1016/j.ceb.2010.05.004

[17] Soliman GA. Dietary Cholesterol and the Lack of Evidence in Cardiovascular Disease. Nutrients. 2018;10(6):780. Published 2018 Jun 16. doi:10.3390/nu10060780

[18] Milman S, Atzmon G, Crandall J, Barzilai N. Phenotypes and genotypes of high density lipoprotein cholesterol in exceptional longevity. Curr Vasc Pharmacol. 2014;12(5):690–697.

[19] Parks EJ. Effect of dietary carbohydrate on triglyceride metabolism in humans. J Nutr. 2001 Oct;131(10):2772S-2774S.

[20] Jun Liu, Fang-Fang Zeng, Zhao-Min Liu, Cai-Xia Zhang, Wen-hua Ling & Yu-Ming Chen. Effects of blood triglycerides on cardiovascular and all-cause mortality: a systematic review and meta-analysis of 61 prospective studies. Lipids in Health and Disease volume 12, Article number: 159 (2013)

[21] Salvetti, A., Brogi, G., Di Legge, V. et al. Drugs (1993) 46(Suppl 2): 149. https://doi.org/10.2165/00003495-199300462-00024

[22] Valeska Ormazabal, Soumyalekshmi Nair, Omar Elfeky, Claudio Aguayo, Carlos Salomon & Felipe A. Zuñiga. Association between insulin resistance and the development of cardiovascular disease. Cardiovascular Diabetology volume 17, Article number: 122 (2018)

[23] De Lorgeril, M., Salen, P., Martin, J. L., Monjaud, I., Delaye, J., & Mamelle, N. (1999). Mediterranean diet, traditional risk factors, and the rate of cardiovascular complications after myocardial infarction: final report of the Lyon Diet Heart Study. Circulation, 99(6), 779-785.

[24] CDC, Lyme and Other Tickborne Diseases Increasing [en ligne]: https://www.cdc.gov/media/dpk/diseases-and-conditions/lyme-disease/index.html[consulté le 22 juillet 2019]

[25] Ostadrahimi A1, Ziaei JE, Esfahani A, Jafarabadi MA, Movassaghpourakbari A, Farrin N. Effect of beta glucan on white blood cell counts and serum levels of IL-4 and IL-12 in women with breast cancer undergoing chemotherapy: a randomized double-blind placebo-controlled clinical trial. Asian Pac J Cancer Prev. 2014;15(14):5733-9.

[26] La prostatectomie totale robot-assistée, une technique possible mais sans valeur ajoutée démontrée par rapport aux autres modalités opératoires. [en ligne] https://www.has-sante.fr/jcms/c_2732432/fr/la-prostatectomie-totale-robot-assistee-une-technique-possible-mais-sans-valeur-ajoutee-demontree-par-rapport-aux-autres-modalites-operatoires [consulté le 7 octobre 19]

[27] Rebière C., Alzheimer :”les médicaments pouvaient représenter un danger”, estime un médecin, juin 2018, consulté en octobre 2019, disponible sur : https://www.rtl.fr/actu/bien-etre/alzheimer-les-medicaments-pouvaient-representer-un-danger-estime-un-medecin-7793605871

[28] GALLACHER, John, ELWOOD, Peter, PICKERING, Janet, et al. Benzodiazepine use and risk of dementia: evidence from the Caerphilly Prospective Study (CaPS). J Epidemiol Community Health, 2012, vol. 66, no 10, p. 869-873.

[29] William R. Markesbery, Oxidative Stress Hypothesis in Alzheimer’s Disease. Free Radical Biology and Medicine. Volume 23, Issue 1, 1997, Pages 134-147, ISSN 0891-5849.

[31] Initial Severity and Antidepressant Benefits: A Meta-Analysis of Data Submitted to the Food and Drug Administration Irving Kirsch ,Brett J Deacon,Tania B Huedo-Medina,Alan Scoboria,Thomas J Moore,Blair T Johnson

[32] Intakes of folate, vitamin B6 and B12 and risk of depression in community-dwelling older adults: the Quebec Longitudinal Study on Nutrition and Aging L Gougeon, H Payette, J A Morais, P Gaudreau, B Shatenstein & K Gray-Donald

[33] Querques G, Avellis FO, Querques l et al. Age-related macular degeneration. Clin Ophthalmol, 2011; 5: 593-601

[34] Querques G, Avellis FO, Querques l et al. Age-related macular degeneration. Clin Ophthalmol, 2011; 5: 593-601

[35] S. Kaushik, J. J. Wang, V. Flood, E. Rochtchina, J. S. L. Tan, J. Brand-Miller, A. Barclay, P. Mitchell, Blue Mountains Eye Study; Glycaemic Index and 10-Year Incidence of Age-Related Macular Degeneration. Invest. Ophthalmol. Vis. Sci. 2007;48(13):1148

[36] Dietary -3 Fatty Acid and Fish Intake in the Primary Prevention of Age-Related Macular Degeneration A Systematic Review and Meta-analysis Arch Ophthalmol. 2008;126(6):826-833.

[37] Schelenz et al. « Streptococcus mutans endocarditis: beware of the diphtheroid ». J. R. Soc. Med., 2005 Sept., 98 (9): 420-421. doi: 10.1258/jrsm.98.9.420 S

[38] Brooke Winner, M.D., Jeffrey F. Peipert, M.D., Ph.D., Qiuhong Zhao, M.S., Christina Buckel, M.S.W., Tessa Madden, M.D., M.P.H., Jenifer E. Allsworth, Ph.D., and Gina M. Secura, Ph.D., M.P.H. Effectiveness of Long-Acting Reversible Contraception – N Engl J Med 2012;366:1998-2007.